Oilosse Aredhel - Rodeuse légendaire

255 ans plus tôt.....


Je quittais la chaumière familiale là où Murme et Mörn, un couple de norne fort et fières et mes parents adoptifs, m'avait tout appris de la chasse, de la pose des pièges et du pistage. J'étais capable de chasser les plus grosses proies des cimes froides du nord comme le bison en passant par les vaetirs, les charrs et les hydres géantes des toundras.


Je fis un long périple à travers les cimes froides avant de retourner dans ma région natal.....Ascalon, ha Ascalon ma belle est magnifique cité n'est plus, tout a était ravager par la guerre contre les charrs, la verdure a laissé place à la souillure, la désolation et le chaos le plus total, la cité d'Ascalon n'était plus qu'un camp de survivants apeurés, terrorisés, angoissé et démoralisé. Il faut dire que les Charrs sont des créatures sanguinaires et sans pitié, ils faisaient des prisonniers pour s'en servir comme esclave.... Le prince Rurik m'engageât pour défendre le camp contre les assauts perpétuelles des Charrs, malgrés les quelques pertes humaines tout ce passa bien jusqu au jour où les Charrs, rassemblés par centaines de milliers, se mirent a assiéger le camp. Les Charrs chaman invoquèrent des pluies de météorites pour fracasser le rempart et faire de nombreuses victimes, par malheur ils réussirent leurs attaques et firent énormément de victimes dans nos lignes et les civiles. Au milieu de ce chaos le plus total, nous étions tous désorientés et sourd, je trébuchas sur ce qu'il semblait être les restes d'un pauvre soldat tué pendant la pluie, au même moment un cor charr se fit entendre et la charge furieuse de ces monstres pénétra dans le camp. La bataille fut horrible, ils nous dépassaient, tuant quiconque étant à portée de leurs épées. Il y avait tant de morts, de tristesses, de sang et de larmes, un soldat se fit ouvrir en deux les entrailles, une mère portant son enfant se fit cribler de flèches, ils s'amusèrent a décapiter le plus de soldats pour ce faire des "trophées". Ils étaient trop nombreux et nous trop peux pour pouvoir riposter, un charr guerrier m'attaquas, je l'abattis sans peine, deux rôdeurs charrs m'attaquèrent à leurs tour je tuas le premier, mais ayant utilisé ma dernière flèche je me retrouvais désarmé. Mon heure était venue, j'allais crever comme ça d'une flèche bien placer en me vidant de mon sang et il m'aurait pris la tête après, il bandât son arc, grognas, jubila, je prie les dieux avant de mourir, je fermas les yeux, entendît la corde se d'étendre, le sifflement de la flèche. Après quelque seconde j'ouvris les yeux, le Charrs était entrain de se faire taillader par Mélandru mon fidèle félin qui m'accompagne partout, le Charr ayant la jugulaire tranchée et la panse bien ouverte se vidât de son sang. Le prince Rurik ordonnât a tout le monde de battre en retraite jusqu au ruine de Shurima, les Charrs dans leurs démences ne s'aperçurent de rien. Quand nous sommes arrivés aux ruines, nous étions plus qu'une petite vingtaine, cinq soldats, treize civils, le prince et moi, nous étions enfin tranquille, mais pour combien de temps ?