Les Guerriers de l'Eternel
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 L'Exil - Livre à venir

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Sike
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MessageSujet: L'Exil - Livre à venir    L'Exil - Livre à venir  I_icon_minitimeSam 14 Avr - 15:04

Loethar est un tyran ambitieux et impitoyable.
A la tête d'une terrifiante armée de guerriers barbares, il a déjà conquis deux nations, ne laissant dans son sillage que dévastation et vies brisées. Il convoite maintenant la royaume de Tyrie : un pays riche, doté d'un port important du nom d'Arche du Lion, d'un littoral étendu et d'abondantes ressources naturelles.
Mais, cette fois, le Tyran veut davantage qu'une couronne, il rêve d’empire et nourrit une obsession grandissante vis-à-vis de la maie. Et s'il veut renverser la Reine Jennah du Promontoire Divin, descendance du Roi Adelbern, c'est parce que cette dernière possède le pouvoir de coercition. Ce don sinistre lui permet de soumettre entièrement les gens à sa volonté. Or, il faut à tout prix empêcher Loethar de s’imprégner de la maie de ces êtres d'exception car, sinon, rien ne pourra l’arrêter ...


Ceci est une piste d'idée pour un mini-livre que je compte écrire pendant mes vacances en Egypte. Je ne parlerais pas de la guilde ou je la citerais peut-être.
J'espère, en tout cas, que ce synopsis vous a plu et laissez vous votre imagination découvrir ce qui va se passer Wink
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Sike
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MessageSujet: Re: L'Exil - Livre à venir    L'Exil - Livre à venir  I_icon_minitimeDim 22 Avr - 18:09

Prologue

Le roi Ormond avait le teint blême, les traits tirés et l'expression résinée d'un homme qui sait qu'il n'a plus que quelques heures à vivre. Néanmoins, assis sur son cheval au sommet de la butte qui surplombait le camps de bataille, il sentit monter en lui la colère et il serra les dents en regardant la horde des plaines tailler ses soldats en pièces. Il avait les yeux rivés sur un homme, un seul, le chef de ses ennemis, qui était facile à repérer au sein de la mêlée, même a cette distance. Alors que ses guerriers portaient les couleurs distinctives de leur tribu, peintes sur tout le visage et le corps, cet homme avait la peau nue, Il n'était pas possible de distinguer ses traits ni de déterminer son age, a cette distance, mais il se battait avec la rapidité et la force physique d'un homme dans la fleur de l’age. Il menait lui-même ses hommes au combat, ce qui était un signe de bravoure et de courage.
-Regardez-moi cette arrogance! s'exclama Ormond d'un ton incrédule. Sommes-nous si pathétique qu'il ne prend même pas la précaution de porter une armure? Ne ressent-il donc aucune peur?
-Je crois que c'est un sentiment bien plus complexe que l'envie de gagner qui motive Loethar, Majesté, répondit l'un de ses compagnons de lassitude.
-Quand on part à la guerre, qu'est-ce qui pourrait bien être plus enviable que la victoire, général Marth? rétorqua le roi en regardant l’homme à coté de lui.
Le général parut momentanément pris au dépourvu. Il regarda en direction du carnage, puis de nouveau vers son roi.
-Votre Altesse, cet homme ne s’intéresse pas qu'à la victoire. Il ne cerce pas à recruter une nouvelle armée parmi la notre, dévastée, ni même à préserver la majeure partie du royaume pour ses propres besoins. J'ai l'impression qu'il ne cerce qu'à humilier ses ennemis. Il a montré à l'Ensemble qu'il avait l'intention de tuer quiconque brandirait une arme contre lui. Son coeur ne connait pas la pitié.
Le roi secoua la tête. Le désespoir hantait ses traits, à présent.
-Je ne peux pas le laisser continuer. Cela a assez duré. Il se déchaîne depuis maintenant quatre lunes. Dragon et Vorgaven ont été conquis et Cremond a tout simplement capitulé. (Il laissa échapper une exclamation de dégoût.) Les autres royaumes de l'Ensemble qu'il a attaqués sont tombés en dépit des renforts qui ont pu leur être envoyés.
Le général inspira profondément, dans un effort visible pour arder son calme en dépit des clameurs de mort qui résonnaient à leurs pieds.
-Comme je vous l'ai déjà dit, Majesté, ce n’est pas parce qu'il dispose d'une réserve de combattants inépuisable, mais parce qu'il a utilisé ses hommes avec beaucoup de ruse et de perspicacité. Son attaque contre les royaumes de l'Ensemble n'a rien de désorganisé; elle a même été très stratégique, et nous n'avons pas accordé à Loethar le respect qu'il mérite. Nous aurions du le prendre au sérieux quand ses hommes ont commencé à se montrer. Nous aurions du envoyer nos propres hommes à la rescousse des Dregons et des Vorgavais. . .
-Pour l'amour de Lo, général! De toute évidence, Brennus a cru que Ranuld saurait défendre Vorgaven.
-Nous sommes tous voisins, Altesse. Nous sommes l'Ensemble. Nous aurions du combiner toutes nos ressources. La Tyrie a l'armée la plus grande et la mieux équipée, ainsi que le plus grand nombre d'armes. . .
-Oui, et pourtant, elle n'est pas intervenue! Le roi Brennus a choisi de ne pas envoyer ses hommes. Pourquoi ? Parce qu'il faisait confiance à Ranuld, il le pensait capable de tenir bon face à ce parvenu, cette racaille!
De nouveau, le général Marth détourna les yeux. Comme son roi, il ne put s’empêcher de regarder l'impitoyable chef de la horde, au moment ou ce dernier abattait son épée sur le cou d'un de leurs soldats. Ils virent jaillir un geyser de sang et regardèrent une autre vie s'éteindre sans gloire par la faute de l'insatiable souverain des tribus des plaines. Le général se tourna vers son roi, la fureur inscrite sur son visage.
-Non, Majesté. Je ne crois pas que le roi Valisar fasse confiance à l'un d'entre nous. Pardonnez-moi, je sais que vous le considérez comme un ami, mais le roi Brennus n'est venu en aide à personne. Je le soupçonne d'avoir compris qu'il avait tort d’être aussi confiant et que la menace contre Penraven est bien réelle. Vu sous cette angle, nous ne sommes pour lui que quantité négligeable. Sa priorité a toujours été et restera toujours l'Ensemble. il réserve ses hommes pour la confrontation finale.
Le roi Ormond plissa les yeux.
-Il a envoyé des hommes à Dregon, il a même. . .
Marth secoua tristement la tête.
-Un este symbolique, Altesse. Nous aurions du réunir nos armées pour casser ce barbare de notre sein. Au lieu de quoi, nous lui avons laissé l'occasion de remporter effrontément sa première victoire, si choquante, contre Dregon et Vorgaven. Quelle audace de se battre non seulement sur deux fronts et sur deux frontières, mais aussi de s'emparer de deux pays! Ses hommes ne sont pas de la simple racaille, Altesse. Ce sont des guerriers. . . accomplis. Nous aurions du l'écraser dès l'instant ou il a posé le pied dans l'Ensemble.
-Nous étions tous d'accord pour attendre de connaitre ses intentions.
-Non, pas tous, Altesse, répondit le général Marth d'une voix ou la tristesse tempérait l'amertume. Nous n'avons pas réai assez vite. Nous avons tous laissé l'initiative aux autres.
-Mais qui aurait cru que Cremond n'offrirait pas la moindre résistance? Pourquoi? Veulent-ils donc d'un brigand tribal comme souverain?
Encore une fois, Marth secoua la tête, visiblement incapable d'offrir la moindre explication sur la capitulation de Cremond, même si l'on pensait depuis longtemps, dans le reste de l'Ensemble, que cette nation, qui se considérait rarement proche des autres royaumes, avait tendance à agir de manière contradictoire.
-Et puis, quel général sain d'esprit aurait fait traverser la région à ses troupes, en ignorant la nation, afin de prendre Vorgaven en même temps que Dregon? Tout cela n'a pas de sens.
-C'était bien là son intention. Loethar nous a constamment pris au dépourvu. Si nous avions réai rapidement dès le départ, nous l'aurions surement arrêté avant même qu'il prenne position. Maintenant, il a eu quatres lunes pour nous mettre dos au mur et convaincre Penraven, dans sa propre arrogance, d'attendre de voir ce qui se passerait. Pensions-nous vraiment qu'il allait nous dire merci et rentrer chez lui?
-Brennus et moi pensions qu'il demanderait à négocier. D'accord, nous avons tous deux été choqués par sa victoire, mais nous n'avons jamais envisagé qu'il voulait s'emparer de l'Ensemble tout entier.
-Je ne vois pas pourquoi, Majesté. Il n'a pas demandé la permission pour y entrer. pourquoi nous donnerait-il l'occasion de nous asseoir avec lui autour d'une table pour des pourparlers? Il ne sait sans doute même pas parler notre langue! (Marth hésita un court instant. Mais qu'avait-il à perdre en livrant enfin le fond de sa pensée? Veillant à s'exprimer sans porter la moindre accusation, il poursuivit:) Les Valisar se sont toujours crus invincibles, et je doute que Brennus fasse exception à la règle. Vous ne voyer donc pas, Votre Altesse, que Brennus nous a laissé aller à l'abattoir? Les autres royaumes ont subi la férocité de Loethar, mais je crois que le barbare garde délibérément le plus gros, le meilleur, pour la fin. Je ne pense pas qu'il ait peur de Penraven. Au contraire. il n'a cessé de jouer au chat et à la souris en réussissant à convaincre Brennus que les tribus finiraient par se désintéresser de cette guerre - une autre raison pour laquelle Brennus a hésité à envoyer toute la puissance de l'armée penravienne pour nous assister. J'ai l'impression que Loethar a délibérément fait croire qu'il n'était qu'une récaille, comme vous le disiez tout à l’heure, alors qu'en réalité il est loin d’être une brute sans cervelle. Il ne se lassera pas des prises de guerre; il ne retournera pas, rassasié, dans les plaines. il a prouvé qu'il était un adversaire rusé et le voilà prêt, mon roi, à renverser notre royaume. Je l'admire.
Ormond poussa un profond soupir en baissant la tête.
-Sonnez la retraite, général.
-Non, roi Ormond. Nos hommes vont mourir, de toute façon. je pense qu'ils préféraient le faire les armes à la main. Mieux vaut tomber au plus fort des combats, victime d'une noble blessure, qu'à genoux en suppliant pour avoir la vie sauve. C'est ce que le barbare a fait à Vorgaven : il a passé les gens au fil de l'épée longtemps après que les cris de guerre ont eu cessé de résonner. Je crois que nos soldats aimeraient mieux rejoindre Lo en hurlant de défi.
Le roi secoua la tete d'un air rave.
-Mais vous êtes un vénérable et moi un monarque. C'est notre rôle de penser et de nous montrer courageux jusqu'au bout. . . de donner notre vie pour notre pays. Peut-être certains de ces hommes parviendront-ils à échapper à la mort et vivront-ils pour raconter comment Barronel résista jusqu'à la dernière seconde? Au nom de ce seul espoir, nous devrions nous rendre.
-Je vous en prie, roi Ormond. S'il nous faut tous mourir, alors soit, mais laissez-nous combattre jusqu'au dernier homme.
Ormond serra les mâchoires d'un air sinistre.
-Non. Lors de mon couronnement, j'ai juré que je ne laisserai aucun de mes sujets se faire tuer si je pouvais l'éviter. Je dois croire qu'au milieu du chaos de la retraite une partie de mon peuple sera préservée, aussi petite soit-elle. Laissons nos hommes tenter de fuir pour avoir la vie sauve. Mais, que Lo me vienne aide, Marth, je verrai couler le sang royal des Valisar pour cette trahison, déclara-t-il d'une voix qui n'était plus qu'un grondement. sonnez la retraite!

Les dents de Loethar étaient visiblement la seule partie de son corps à ne pas être couverte du sang de ses ennemis. Mais il savait que cela canerait bientôt et, tandis que ses membres oeuvraient sauvagement, sans relâche, pour ôter la vie à ses adversaires, il se concentra sur l'idée qu'il boirait bientôt le sang du roi Ormond. Car Ormond était tout ce qui se dressait entre lui et son véritable but. . . Penraven.
Toute cette opération - dont les préparatifs avaient pris deux annis - avait été entreprise afin d'atteindre cet objectif, désormais si proche qu'il pouvait presque en imaginer le out. Tout ce travail acharné en avait valu la peine - l’aguerrissement de ses hommes, l’élevage intensif des chevaux, l'accumulation de réserves de nourriture et d'eau près de la frontière principale avec l'Ensemble. . . Mais rien de tout cela ne pouvait se comparer à sa préparation mentale. Il avait accumulé la aine, la répugnance, l'amertume et la rage, puis il les avait canalisées dans le travail préparatoire qui avait débouché sur l’attaque surprise et concertée de deux royaumes en même temps.
A cause de leur présomption et de leur ego surdimensionné, les Valisar n'auraient jamais pu croire un seul instant qu'ils étaient sérieusement menacés - du moins, pas au début. Loethar avait donc ai comme s'il manquait de connaissances militaire ou stratégiques. Il avait traversé l'Ensemble en couvrant une distance inutile et presque illogique. Il a fait passer ses hommes pour des canailles indisciplinés, en allant même jusqu'à renvoyer un quart d'entre eux à la frontière principale de l'Ensemble, comme s'ils se désintéressaient des combats et retournaient sans se presser sur leurs plaines.
Puis il leur avait rejoindre son avant garde par petits groupes, le plus souvent sous couvert de l'obscurité, en courant aux cotés de chiens des plaines sauvages. Il entraînait ces bêtes depuis leur plus jeune age, après avoir tué leurs parents, afin qu'elles ne reconnaissent et ne fassent confiance qu'à l'odeur de ses hommes. Ces chiens étaient les meilleurs éclaireurs, capables de parcourir de longues distances, de se déplacer en silence et renifler l'odeur d'un ennemi, même aussi imperceptible soit-elle. A de nombreuses reprises, ils avaient averti les différents chefs tribaux de changer de direction et de rejoindre l'armée principale par une autre route. C'était en grande partie grace à eux, par exemple, que Vorgaven avait cru affronter trois mille hommes alors qu'ils étaient en réalité près de cinq mille.
Au cours de ces quatre lunes, Loethar n'avait cessé de concerter son ennemi, un ennemi si gonflé de son importance et, pis encore, si méprisant envers la horde des plaines qu'il s'était essentiellement détruit tout seul.
Loethar grimaça lorsqu'un homme tomba près de ses pieds, car l'épée du soldat barronel lui entailla la jambe dans sa chute. Heureusement, la jument de Loethar, souple et intelligente, fit un écart. L’homme tomba sous les sabots des autres chevaux et les pieds des guerriers qui continuaient a avancer, et son corps fut rapidement piétiné au point d’être méconnaissable. Loethar prêta a peine attention à sa blessure. Elle lui faisait mal, mais il continuait à se tailler dans la chair et dans l'os un chemin qui le rapprochait de plus en plus du but convoité.
il était persuadé qu'on avait rapidement transmis la consigne que le combattant torse nu, sans chemise ni armure, était l’homme à abattre. Mais Stracker était toujours à proximité, ainsi que ses Verts, plus sauvages que n'importe quelle autre tribu.
Loethar vit la tête d'un soldat se détacher de son corps à la suite d'un formidable coup de Stracker. Le revers de ce même coup trancha le bras tendu d'un autre soldat juste au-dessus du coude. l’homme contempla avec stupeur son moignon d'ou jaillissait le sang, puis il rugit son désespoir en se penchant pour ramasser son épée de l'autre main.
-Il est courageux, il faut bien le reconnaître, concéda Loethar tandis que Stracker enfonçait son épée dans la peau tendre du ventre du soldat pour l’achever.
-Il faut se méfier de ces sournois qui se battent des deux mains, mon frère, cria Stracker en tranchant, d'un coup de taille précis, la gorge d'un autre adversaire.
-Ils vont bientôt sonner la retraite, répliqua Loethar en obligeant sa monture à décrire un cercle complet, ce qui lui permit de tuer deux soldats au passage.
-Aucune chance, Barronel a l'intention de se battre jusqu'au dernier homme, j'en suis sur.
Loethar réussit à faire un clin d'oeil.
-Je te parie mon extraordinaire Trilla, ici présente, contre ton étalon. Ils sonneront la retraite avant que tu réussisses à tuer encore six de nos ennemis.
Stracker sourit, et des rides d'amusement creusèrent mon visage maculé de sang.
-D'accord! J'ai toujours eu un faible pour ta petite jument ombrageuse.
-Elle n'est pas encore à toi, mon frère, lui rappela Loethar d'un ton sarcastique.
-Oh, mais elle sera bientôt. Un! s'écria-t-il avec suffisance tandis qu'un autre soldat barronel trouvait la mort. Deux! ajouta-t-il en ouvrant le ventre d'un autre.
Stracker en était à quatre lorsque Loethar et lui entendirent résonner sur le camps de bataille le son inimitable de la retraite barronelle.
Alors que Stracker hurlait sa désapprobation, Loethar se mit à rire. Mais il se sentait secrètement soulagé. Fatigué, il savait que le sang qui recouvrait son corps n'appartenait pas qu'à ses ennemis. Lui aussi avait quelque peu souffert. Il avait durement combattu ce jour-là à l'avant-arde de son armée, et la vision des troupes baronelles battant en retraite, gravement diminuées, lui était douce.
-Rassemblez tout le monde, ordonna-t-il aux chefs de ses tribus en essayant de masquer la lassitude qui perçait dans sa voix. Les Verts viennent avec moi accepter la reddition du général Marth. Rouges et Bleus, laissez-les croire que nous ne faisons qu'évaluer leur nombre. Tous seront tués plus tard.
-Et le roi? demanda Stracker, visiblement vexé d'avoir perdu son pari, en lui emboîtant le pas.
-Je boirais en compagnie du roi Ormond plus tard, Il ira, bien entendu, rejoindre son dieu avant la fin de cette nuit, mais d'abord, Stracker, tu me dois ce beau cheval.
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Kayvaan shrike
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MessageSujet: Re: L'Exil - Livre à venir    L'Exil - Livre à venir  I_icon_minitimeDim 22 Avr - 22:32

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Merci
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MessageSujet: Re: L'Exil - Livre à venir    L'Exil - Livre à venir  I_icon_minitime

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